France Cluster Afrique Francophone
Participez à la deuxième édition de l’Africa DDay L’événement recrutement dédié à l’Afrique
Un après-midi pour se rencontrer De nombreuses perspectives pour décoller
Vendredi 22 mars 2013 de 14h à 20h, dans nos locaux de Neuilly sur Seine Le 22 mars, pour la deuxième édition de l’Africa DDay : l’événement de recrutement dédié à nos postes en Afrique, 50 candidats seront sélectionnés pour participer à une journée de recrutement unique au sein de notre cabinet. De 14h à 20h, ils passeront les étapes de notre recrutement en accéléré et profiteront d’échanges privilégiés avec des collaborateurs et des associés du Cluster Afrique Deloitte, organisation rassemblant 11 bureaux en Afrique Francophone. Intéressé(e) par l’opportunité de travailler dans l’un de nos bureaux africains ? Vous êtes un(e) professionnel(le) confirmé(e), 4 ans d’expérience minimum ? Vous avez une volonté forte de travailler en Afrique ? Vous souhaitez intégrer une organisation en croissance et accélérer votre développement professionnel et personnel?
Découvrez l’Africa DDay et postulez !
Deloitte fait référence à un ou plusieurs cabinets membres de Deloitte Touche Tohmatsu Limited, société de droit anglais (« private company limited by guarantee »), et à son réseau de cabinets membres constitués en entités indépendantes et juridiquement distinctes. Pour en savoir plus sur la structure légale de Deloitte Touche Tohmatsu Limited et de ses cabinets membres, consulter www.deloitte.com/about. En France, Deloitte SA est le cabinet membre de Deloitte Touche Tohmatsu Limited, et les services professionnels sont rendus par ses filiales et ses affiliés. |
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Profil
Bac+4 minimum en gestion ou tout autre domaine
Bilingue
Aptitudes
Avoir une bonne connaissance de l’outil informatique
Les personnes intéressées par le présent avis sot priées d'adresser leur candidature par courriel à: contact@manegereafrique.com
L’épanouissement professionnel est le principal motif de mobilité.
Le turn-over décrit le rythme de renouvellement des effectifs dans une organisation, c’est un critère souvent utilisé dans les baromètres RH pour juger de « la santé sociale » d’une entreprise. Les directions générales et ressources humaines cherchent à combattre ce phénomène en raison de son impact en termes d’images et de coûts financiers. Il pose également le problème de transfert des compétences. Conserver son savoir-faire, l’entretenir et le développer au gré des départs et des arrivées des collaborateurs est devenu un enjeu capital pour les entreprises.
La formation peut alors apparaître comme une méthode de fidélisation : elle répond aux demandes des collaborateurs, améliore leur implication et les remet à niveau pour atteindre les objectifs fixés.
Dans un climat peu propice à la prise de risque, un cadre sur 5 a changé de poste ou d’entreprise en 2011. Changement de secteur, envie de s’épanouir dans un nouveau poste, mauvaises conditions de travail, blocages avec la hiérarchie ou opportunités de carrière avec une rémunération plus élevée… Les motivations des cadres pour changer de poste sont nombreuses.
Pour accélérer leur carrière et réussir leur mobilité, les cadres s’appuient sur deux canaux principaux : la mise en relation personnelle ou professionnelle et les cabinets de recrutement. Leurs critères d’acceptation d’un emploi sont:
- équilibre vie privée / vie professionnelle
- évolution de carrière
- rémunération / avantages
- notoriété de l’entreprise
Si la rémunération est l’une des premières attentes des cadres, elle n’est pas pour autant le principal levier de motivation . La priorité pour les salariés est avant tout le bien-être au travail.
Quel est votre point de vue ? Avez-vous songé à changer de poste ? Pour quelles raisons ? Partagez votre avis dans les commentaires !
Le gourou du management dénonce les dérives de l'encadrement traditionnel. Il détermine cinq principes clefs qu’il juge indispensables aux entreprises d’aujourd’hui.
Conférencier de réputation mondiale, Gary Hamel enseigne à la London Business School et est le fondateur et directeur du cabinet spécialisé en stratégie d’entreprise, Strategos. Il est l’auteur de plusieurs bestsellers dont « La conquête du futur » et « La fin du management ».
Les ouvrages consacrés au management qui parlent de noblesse, d’amour, de beauté ou de passion ne sont guère légion. « Ce qui compte vraiment » (éditions Eyrolles), le dernier opus de Gary Hamel, fait exception. Considéré – par le magazine « Fortune » et « The Wall Street Journal » – comme l’une des personnalités des affaires les plus influentes au monde, Gary Hamel tire à boulets rouges sur le management traditionnel, qu’il ne s’agit plus, selon lui, d’améliorer mais de réinventer. « Ce type de management est devenu un problème, non une solution », confie-t-il en exclusivité aux « Echos » pour qui il a accepté de commenter cinq principes clefs pour un management adapté à « un monde de changement perpétuel, de compétition féroce, d’innovation débordante et d’exigences sociales ».
1. Les valeurs
Argent facile, cupidité, myopie, déni, complexité ont conduit à la crise de 2008 et mis à mal l’image du monde bancaire ainsi que celui des grandes entreprises et des milieux économique et politique en général, estime Gary Hamel. « Dans le monde des affaires, quand la confiance diminue, les contraintes réglementaires s’accroissent. Seule un regain d’éthique peut enrayer ce processus », observe-t-il. Les grands groupes et banques mondiales, pour gagner la confiance de l’opinion publique, se doivent de retrouver le sens de la noblesse. « C’est une tendance de fond : les nouvelles promotions de MBA placent l’éthique de leur potentiel employeur au même niveau que leurs prétentions salariales », assure le penseur des affaires.
2. L’innovation
L’innovation aujourd’hui, c’est l’iPhone d’Apple, le produit esthétiquement parfait. C’est aussi la campagne de publicité décoiffante ou encore la capacité à faire vivre au consommateur une expérience hors pair. Problème : les produits à succès et les stratégies innovantes sont vite copiés. La compétition féroce entre entreprises commande la mise en place d’un processus d’innovation constant. Or, dans la plupart des organisations, l’innovation se produit « malgré le système » et non « grâce à lui ». « Il n’y a qu’une entreprise sur cent qui considère l’innovation comme l’objectif et la mission de chaque salarié et comme la seule stratégie durable pour créer de la valeur à long terme », déplore Gary Hamel. « Accorder bien plus de liberté aux salariés est la clef. Si l’entreprise veut de l’innovation et de l’inattendu, elle doit laisser la possibilité aux salariés de le provoquer. », insiste-t-il.
A LIRE ÉGALEMENT
M. Landel (Sodexo) : « L'adaptabilité, seul moyen de construire »
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3. L’adaptabilité
« Quand une entreprise se développe, son attention passe de l’innovation à l’amélioration et de l’exploration à l’exploitation. La discipline, la concentration et la cohérence ont la prééminence », explique Gary Hamel. Résultat : les entreprises oublient de se ré-inventer. Elles répètent les recettes qui ont fondé leurs succès passés, campent sur leur autosatisfaction et se laissent diriger par leur instinct de conservation et leurs rigidités mentales. « A un tel régime, même les icônes finissent par tomber dans la médiocrité. Et voilà comment expire l’excellence : GM, EMI, the New York Times, Johnson & Johnson, Nokia, Kodak ont perdu la niaque, ces dernière années », ponctue Gary Hamel.
4. La passion
« La plupart des managers ont le réflexe d’étouffer l’enthousiasme de leurs collaborateurs plutôt que celui d’en attiser les flammes. Pourquoi acceptons-nous que nos systèmes de management aient plus de chance de contrecarrer un exploit que de le faciliter ? » , interroge Gary Hamel, en citant les contre-exemples le groupe de béton prêt à l’emploi Cemex et l’entreprise design californienne Ideo. « Le problème aujourd’hui n’est pas un manque de compétence mais d’ardeur » , poursuit-il en assénant que les individus doivent passer avant les institutions. « Combien de règles imposent la standardisation aux dépens de l’initiative et de l’enthousiasme, tout en délivrant de maigres bénéfices, voire aucun, en termes de performance ? »
5. L’idéologie
L’idéologie du management est déséquilibrée, car elle accorde une place excessive au contrôle et à la bureaucratie, mais tout à fait insuffisante à la liberté, comme cela peut être le cas au sein d’entreprises telles que Morning Star (groupe américain transformateur de tomates). D’autres structures s’organisent d’une manière similaire : WL Gore (groupe textile américain de quelque 8.000 personnes), la société d’informatique indienne HCL Technologies, la structure coopérative Mandragon en Espagne, Grameen Bank au Bangladesh ou encore les sociétés de la Silicon Valley. Pour Gary Hamel, les entreprises accordent à tort peu d’intérêt aux coûts invisibles suscités par les décisions trop tardives, les biais cognitifs, les préjugés dissimulés et la déresponsabilisation du personnel. Autant d’éléments qui constituent « un désavantage concurrentiel » et forment ce que Gary Hamel considère comme un impôt ou encore une « taxe de management »
Par Muriel Jasor
Extrait de "Ce qui compte vraiment", Gary Hamel, Editions Eyrolles
Accompagner le changement
Le management collaboratif ou participatif se répand de plus en plus au sein des entreprises comme un nouveau modèle de gestion des équipes. Il s’appuie sur trois axes : communication, coopération et coordination. Bousculant les modèles organisationnels classiques, il vient transformer la culture d’entreprise et devient ainsi un enjeu pour les sociétés.
Le management collaboratif s’appuie sur la mise en place de nombreux outils : plateformes participatives, réseaux sociaux professionnels, nouveaux processus opérationnels... L’objectif est de faciliter la mise en commun des idées, des informations, des ressources et des compétences à travers les services de l’entreprise.
Ce changement implique une refonte générale des structures et la mise en œuvre de moyens efficaces. Sa réussite repose notamment sur la formation des managers et la mise en place d’équipes pilotes. Cependant, cette démarche pose deux limites : une charge de travail supplémentaire pour les salariés et une réticence des experts à partager leurs savoirs spécifiques.
HCL Technologies, une multinationale avant-gardiste
HCL Technologies, multinationale indienne spécialisée dans les services informatiques comptant 90 000 salariés dans 32 pays, illustre le mieux le concept de management collaboratif. À sa tête depuis 2005, Vineet Nayar a mis en place un système de management révolutionnaire partant d’un principe simple : « Les salariés avant les clients » : une méthode qualifiée par le magazine Fortune de « style de management le plus moderne au monde ».
Le CEO a fait le constat suivant : « 50% de la population mondiale a moins de 25 ans. Grâce aux médias et aux réseaux sociaux, les employés de la génération Y sont collaboratifs par nature. Nous devions construire une structure organisationnelle capable d’accueillir ces nouveaux talents. »
La volonté de Vineet Nayar de changer les codes conventionnels se traduit par des actions concrètes : la hiérarchie est évaluée de façon transparente et anonyme, la synthèse des résultats est publiée sur l’intranet de l’entreprise, chaque salarié peut soulever un problème, poser une question ou soumettre une idée…
Si le principe hiérarchique existe toujours, l’organisation entière change radicalement de mode de fonctionnement.
Cependant, la mise en place d’une démarche de management collaboratif n’annihile pas pour autant tous les problèmes organisationnels ; par exemple les délais de réponse des managers aux suggestions d’amélioration des employés restent de plusieurs mois….
L’investissement dans le capital humain demeure quoi qu’il en soit un levier de performance pour les entreprises.
À vous de juger ! Que pensez-vous de ce type de management ? L’avez-vous déjà expérimenté ? Partagez votre avis dans les commentaires !
«MANEGERE a su s’immerger totalement dans la culture d’entreprise ANSALDO STS pour apporter des réponses opérationnelles et personnalisées »
Depuis juillet 2008, Laure MICHALET, Chargée de Développement Ressources Humaines chez ANSALDO STS aux Ulis, a placé la formation au centre de son activité pour mieux outiller les collaborateurs aussi bien sur un plan technique que sur des compétences transverses.
ANSALDO STS, filiale du groupe italien FINMECCANICA, développe des outils de pointe dans l'ingénierie et la conception de systèmes de signalisation ferroviaire.
Elle a accepté de témoigner sur cette expérience.
Pourriez-vous nous situer le contexte dans lequel vous faites appel à MANEGERE ?
La formation professionnelle continue est un axe privilégié pour ANSALDO STS permettant de maintenir un haut niveau technique au sein de l'entreprise.
En France, 15 000 heures sont consacrées annuellement à la formation, dans les domaines du développement logiciel , des systèmes complexes, de l'électronique et de l’informatique, mais également dans les domaines non techniques tels que les langues, l’hygiène/sécurité/environnement ou encore le management et le développement personnel.
Depuis 2008, MANEGERE intervient chez ANSALDO STS sur ces deux dernières thématiques, ouvertes à tous les collaborateurs.
Pouvez-vous nous parler plus précisément de votre perception des interventions MANEGERE?
Au-delà d’apporter des réponses opérationnelles aux collaborateurs d’ANSALDO STS sur leur prise de parole en public ou sur la conduite de réunions par exemple, les interventions de MANEGERE facilitent également l’intégration des nouveaux recrutés et donnent des clés au management sur la prévention des risques psychosociaux ou sur la gestion de la diversité.
Quels sont les apports pratiques des formations MANEGERE ?
MANEGERE s’imprègne des spécificités ANSALDO STS, des problématiques liées aux métiers grâce à un travail approfondi de préparation de ses interventions au travers d’échanges préalables avec les participants.
Dès lors, les formations sont totalement personnalisées et adaptées à la culture d’entreprise et aux publics rencontrés et les messages sont alors parfaitement compris, acceptés et intégrés par les participants.
Cet ancrage des apports MANEGERE est consolidé par la suite par des entretiens téléphoniques entre MANEGERE et les participants sur leurs retours d’expérience : ces séances de mentorat permettent au cas par cas de préciser et d’approfondir des points spécifiques abordés lors des interventions et en facilitent leur intégration dans la durée.
Quel regard portez-vous sur la qualité de l’animation MANEGERE ?
Tous les participants expriment une grande satisfaction à l’issue des interventions MANEGERE et se réinscrivent très volontiers aux différentes thématiques proposées par le service formation et animées par le cabinet
Ils apprécient tout particulièrement l’interactivité de ces journées et les différents jeux et mises en situation proposés par MANEGERE.
Ils plébiscitent la qualité de l’animation vive, rythmée et opérationnelle de MANEGERE.
Selon vous, quels sont les éléments qui assurent la performance de MANEGERE ?
MANEGERE sait s’immerger totalement dans une entreprise pour en saisir son ADN et rencontrer ses collaborateurs avant toute intervention pour pouvoir proposer par la suite un contenu personnalisé et fait « sur mesure » en fonction des profils.
Enfin et surtout, MANEGERE a su s’immerger totalement dans la culture d’entreprise ANSALDO STS pour apporter des réponses opérationnelles et personnalisées
Interview réalisée Chrystel BAYLAC pour MANEGERE le 1 octobre 2012
REVELATEUR DE PERFORMANCE & CREATEUR D’EXCELLENCE
Standard : +33 (0)1 44 75 70 07 - http://www.manegere.fr/
L’Homme est le principal moteur de la performance et seul capable de créer les conditions de l’Excellence
Pourquoi ?
D’abord revenons à notre définition de la performance et de l’Excellence.
Pour nous, la performance à l’instant T est similaire à l’excellence, c’est dans le temps que l’Excellence se différencie et trouve sa supériorité sur la performance.
La plus grande difficulté des entreprises, comme celle des Hommes, est de maintenir un niveau de performance durable, c’est ce que nous nommons l’Excellence.
L’environnement est instable
Pour toutes ces raisons, les mêmes actions qui aujourd’hui entrainent une performance peuvent entrainer des échecs demain.
Il s’agit donc de construire les conditions d’une performance durable donc de l’excellence pour y arriver et pour cela remettre l’Homme au cœur du système.
Dans un précédent article, nous évoquions les 5 qualités indispensables pour cet Homme
Et nous pourrions y ajouter la culture de la discipline.
L’Excellence dans une entreprise ne peut être l’affaire d’une seule personne aussi haut placée soit-elle !
C’est l’affaire de tous les Hommes qui composent cette entreprise, s’ils savent échanger, décider et surtout agir ensemble !
Tout au long de l’année, nous vous proposerons des outils soit pour créer les conditions de l’excellence, soit en travaillant sur les Hommes ou en vous permettant de mieux les faire travailler ensemble.
Said AGBANRIN et l’équipe MANEGERE